2.1. L’organisation du travail

Pour améliorer la performance il est possible d’agir sur trois leviers ; l’organisation du travail, l’étude des processus, le développement du travail coopératif assisté par ordinateur.

En matière d’organisation du travail, la recherche de performance passe par des démarches d’analyse et de rationalisation des tâches et des compétences, au niveau individuel et collectif.

• Organisation du travail :
- hiérarchie, responsabilités, interdépendances ;
- analyse des tâches ;
- poste de travail.

• Fiches de fonctions.

• Tableau de répartition des tâches.

Indications complémentaires

Les activités pédagogiques à proposer s’appuient sur des exemples d’unités de travail (groupe de travail ou équipe) dont la dimension doit être raisonnable et doit permettre une approche facilement accessible des notions abordées. Pour y parvenir ces activités peuvent être :
- descriptives : présenter des fiches de poste, des fiches de fonction ou d’attributions, en prenant appui si nécessaire sur des organigrammes limités à l’unité étudiée où sont représentées les relations entre acteurs ; illustrer la répartition du travail par la lecture et l’interprétation d’un tableau de répartition des tâches ;
- analytiques : analyser les tâches accomplies et les compétences associées.

Les activités prennent tout leur sens si leur contexte est nettement défini, en énonçant, par exemple :
- les performances attendues de l’unité de travail observée ;
- les circonstances ou les objectifs qui fondent l’organisation ou la réorganisation du groupe (modification de l’activité, correction de dysfonctionnements, amélioration de la qualité, etc.) ;
- les modes d’association ou d’implication du personnel (entretien, enquête par exemple), en harmonie avec les contenus des parties « A. Les groupes » et « B. La communication » de ce programme.

Le développement des activités proposées devrait être facilité par la réunion de quelques conditions :
- des situations peu complexes ;
- une référence aux métiers du tertiaire facilement identifiables et répandus ;
- la mobilisation des techniques et outils déjà connus des élèves, notamment ceux liés aux technologies de l’information et de la communication.